- Immobilier en 2012
Ces dernières années, les loyers impayés sont à la hausse. Une tendance inquiétante, qui montre les difficultés auxquelles sont confrontées de nombreux ménages.
L’augmentation des prix de l’immobilier, des loyers, ces dernières années, la baisse du pouvoir d’achat des ménages, la hausse de la facture énergétique, la stagnation des salaires, entraînent inévitablement des difficultés d’ordre financière chez les ménages. Certains ont donc du mal à honorer leur facture, leur loyer.
La crise semble être liée à ce phénomène. Crise n’ y semble pas pour le moment se dissiper.
- 2012
Immobilier : Des prix à la baisse notamment en province - Juin 2012
Activité immobilière en repli, durcissement d’octroi en matière de prêts bancaires, le volume de transactions semble plus que jamais se tourner à la baisse en 2012 .
Et naturellement, la pression se porte désormais sur les prix. Les acheteurs ont donc la main.
Bien entendu , il existe de profondes divergences en France et notamment, entre l’île de France et la Province. Dans certaines villes proches de Paris, l’activité immobilière reste encore confortable. L’essoufflement est léger, alors que sur la province, le ralentissement de l’activité se fait davantage ressentir.
Une tendance qui devrait se poursuivre tout au long de 2012
- 2012
La baisse des prix s’installe plus que jamais en France ? - Juin 2012
> immobilier 2012
Depuis le début d’année, l’heure est à la baisse des prix immobiliers. Moins d’acheteurs, prix élevés, problèmes de solvabilité, contexte économique défavorable, durcissement des conditions d’emprunt, baisse du volume des transactions immobilières, le réajustement semble être inévitable.
Mois après mois le marché s’est détérioré. Ces dernières années, les taux ont été exceptionnellement bas, ce qui a donné l’illusion d’un marché en bonne santé, malgré la crise. On entendait ainsi : « La pierre résiste bien » Ceci était Faux car les taux ont pendant la crise atteint un plus bas historique. Les prix ont donc continué à augmenter, ce qui a accru le décalage entre les salaires et les prix.
Durée d’emprunt en hausse + taux extrêmement bas , ont poussé les prix vers le haut. Alors que les durées d’emprunt étaient de 10 à 15 ans, elles ont augmenté pour atteindre 25 à 30ans , faisant monter les prix, et poussant à la spéculation.
Désormais les salaires sont absolument déconnectés des prix pratiqués. Les acheteurs qui ont payé un prix exorbitant à l’achat ces dernières années, ne peuvent pas brader non plus à la revente aujourd'hui. Nombreux sont ceux qui ont acheté des biens surévalués occasionnant un besoin d’emprunt toujours plus grand. Aujourdh'ui les prix devraient pourtant fléchir d’au moins 30 % pour retrouver un marché plus sain avec des prix basés sur les salaires et non sur des mensualités à rallonge.
Soyons encore plus fous, ou plus avares sur l’argent .
Pourquoi ne pas augmenter les durées d’emprunt à 40 ou 50 ans, ou même sur plusieurs générations, permettant, de pousser les prix toujours plus à la hausse, et obligeant ainsi les ménages à payer 3 ou 4 fois le prix réel de leur bien avec des mensualités alléchantes pour en faire de bons consommateurs, tenu en laisse à vie et sur plusieurs générations ? Les moutons se précipiteront pour acheter leur maison au prix fort, du moment qu’ils payent une petite mensualité, mais pendant 50 ans. On peut compter sur les principaux médias pour en faire la promo. Et dès que ca se tassera un peu, il suffira d' augmenter, la durée, d'emprunt, ou toute autre entourloupes du même genre et ce sera reparti pour un cycle. Que du Bonheur.
Par contre les vendeurs, vont être déçus le jour où le marché va tomber. La spéculation , ca n'a pas que du bon , même si aujourdh'ui, les particuliers veulent aussi gagner de l'argent à la revente de leur bien. Belle société.
Les organismes de prêts bancaires ont en attendant rempli leurs caisses, mais poussés les prix à des niveaux inquiétants. Cette course à l’argent qui fait aujourd’hui vaciller tout le système.
Juin 2012
Depuis le début d’année, l’heure est à la baisse des prix immobiliers. Moins d’acheteurs, prix élevés, problèmes de solvabilité, contexte économique défavorable, durcissement des conditions d’emprunt, baisse du volume des transactions immobilières, le réajustement semble être inévitable.
Mois après mois le marché s’est détérioré. Ces dernières années, les taux ont été exceptionnellement bas, ce qui a donné l’illusion d’un marché en bonne santé, malgré la crise. On entendait ainsi : « La pierre résiste bien » Ceci était Faux car les taux ont pendant la crise atteint un plus bas historique. Les prix ont donc continué à augmenter, ce qui a accru le décalage entre les salaires et les prix.
Durée d’emprunt en hausse + taux extrêmement bas , ont poussé les prix vers le haut. Alors que les durées d’emprunt étaient de 10 à 15 ans, elles ont augmenté pour atteindre 25 à 30ans , faisant monter les prix, et poussant à la spéculation.
Désormais les salaires sont absolument déconnectés des prix pratiqués. Les acheteurs qui ont payé un prix exorbitant à l’achat ces dernières années, ne peuvent pas brader non plus à la revente aujourd'hui. Nombreux sont ceux qui ont acheté des biens surévalués occasionnant un besoin d’emprunt toujours plus grand. Aujourdh'ui les prix devraient pourtant fléchir d’au moins 30 % pour retrouver un marché plus sain avec des prix basés sur les salaires et non sur des mensualités à rallonge.
Soyons encore plus fous, ou plus avares sur l’argent .
Pourquoi ne pas augmenter les durées d’emprunt à 40 ou 50 ans, ou même sur plusieurs générations, permettant, de pousser les prix toujours plus à la hausse, et obligeant ainsi les ménages à payer 3 ou 4 fois le prix réel de leur bien avec des mensualités alléchantes pour en faire de bons consommateurs, tenu en laisse à vie et sur plusieurs générations ? Les moutons se précipiteront pour acheter leur maison au prix fort, du moment qu’ils payent une petite mensualité, mais pendant 50 ans. On peut compter sur les principaux médias pour en faire la promo. Et dès que ca se tassera un peu, il suffira d' augmenter, la durée, d'emprunt, ou toute autre entourloupes du même genre et ce sera reparti pour un cycle. Que du Bonheur.
Par contre les vendeurs, vont être déçus le jour où le marché va tomber. La spéculation , ca n'a pas que du bon , même si aujourdh'ui, les particuliers veulent aussi gagner de l'argent à la revente de leur bien. Belle société.
Les organismes de prêts bancaires ont en attendant rempli leurs caisses, mais poussés les prix à des niveaux inquiétants. Cette course à l’argent qui fait aujourd’hui vaciller tout le système.
Juin 2012
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