Le malaise du marché américain s'est illustré notamment par un nombre de saisie immobilière record ces mois derniers.
Enrayé ce phénomène est apparu extrêmement difficile face à une tempête financière sans précédent.
En amont; la crise financière avait touché le secteur des prêts hypothécaires. Plus précisémment, la crise des subprimes US a contribué au déclenchement de la tempête financière qui sévit désormais sur l'ensemble des marchés mondiaux.
Les ménages américains aux revenus modestes se sont vu octroyés des prêts à hauts risques alors mêmes que ces derniers n'étaient pour la plupart pas en mesure de rembourser les mensualités.
La politique agressive menée par des établissements financiers américains a entrainé une distribution massive de prêt à haut risque (taux variable)
Face à une remontée des taux, les saisies hypothécaires ont commencé à se multiplier aux Etats unis jusqu'à en réduire les banques en situation faillite.
A ce jour, l'immobilier américain peine à ressortir la tête de l'eau. Affaiblit, au ralentit, malgré un léger sursaut dans le neuf, le secteur immobilier américain baigne dans une spirale négative.
Face à un stock de logements considérables, les prix de l'immobilier américain devraient poursuivre leur baisse pendant plusieurs mois encore.
Réduire le déficit budgétaire sera sensiblement long pour le secteur, dans un contexte économique difficle où la spirale baissière ne peut s'arrêter rapidement.
Quelles tendances pour le secteur immobilier ?
Avril 2009
La crise sans précédent que nous connaissons actuellement inquiète.
Même si quelques améliorations se dessinent durant cette période de printemps, la relance n'est pour le moment pas au rendez-vous.
Financièrement, les ménages français ne sont pas au mieux. Perçu comme le principal frein à la réalisation des projets immobiliers, le financement rend réticents de nombreux ménages vis à vis de l'endettement. Le recul des taux d'intérêts pourrait contribuer à la reprise des projets jusque là suspendus.
Bien entendu, malgré ces nouveaux facteurs, la balle sera dans le camp des établissements financiers pour l'octroi des prêts immobiliers.
A l'avenir, les taux pourraient poursuivre leur baisse autour des 4 %, permettant de faciliter une relance du secteur immobilier, grandement affaiblit depuis des mois.
Dans le même temps, les prix devraient également poursuivre leur baisse, face à un attentisme des français toujours important du fait du climat économique incertain.
La crise sans précédent que nous connaissons actuellement inquiète.
Même si quelques améliorations se dessinent durant cette période de printemps, la relance n'est pour le moment pas au rendez-vous.
Financièrement, les ménages français ne sont pas au mieux. Perçu comme le principal frein à la réalisation des projets immobiliers, le financement rend réticents de nombreux ménages vis à vis de l'endettement. Le recul des taux d'intérêts pourrait contribuer à la reprise des projets jusque là suspendus.
Bien entendu, malgré ces nouveaux facteurs, la balle sera dans le camp des établissements financiers pour l'octroi des prêts immobiliers.
A l'avenir, les taux pourraient poursuivre leur baisse autour des 4 %, permettant de faciliter une relance du secteur immobilier, grandement affaiblit depuis des mois.
Dans le même temps, les prix devraient également poursuivre leur baisse, face à un attentisme des français toujours important du fait du climat économique incertain.
Les agences immobilières retiennent leur souffle.
Face à une crise économique sans précédent, les agences immobilières traversent une période des plus délicates.
Devant l'amaigrissement du nombre d'acquéreurs lié à un manque de solvabilité des ménages, le nombre de transaction a littéralement chuté. Dans le même temps les prix ont également entamé une baisse après une décennie de hausse continue.
Les prix de l'immobilier étaient depuis longtemps trop élevés et devaient nécessairement revenir à des valeurs en conformité avec les capacités financières des ménages français.
De moins en moins solvable face à cette inflation, le nombre d'acquéreurs s'est asséché. A l'arrivée de la crise financière, les établissements financiers ont procédé un durcissement des conditions d'emprunts paralysant plus lourdement encore le secteur déjà affaiblit.
De ce fait, le nombre d'agence ayant fermé leur porte s'élève déjà à plus de 2500.
Dans l'attente d'une relance économique sur le plan internationnal, les agences immobilières en difficulté qui voient chaque jour leurs ressources diminuées un peu plus, espèrent un léger rebond avec l'arrivée des beaux jours. Avec la baisse des prix associée à la baisse des taux d'intérêts, les agences misent sur une hausse d'activité en ce début de printemps.
Devant l'amaigrissement du nombre d'acquéreurs lié à un manque de solvabilité des ménages, le nombre de transaction a littéralement chuté. Dans le même temps les prix ont également entamé une baisse après une décennie de hausse continue.
Les prix de l'immobilier étaient depuis longtemps trop élevés et devaient nécessairement revenir à des valeurs en conformité avec les capacités financières des ménages français.
De moins en moins solvable face à cette inflation, le nombre d'acquéreurs s'est asséché. A l'arrivée de la crise financière, les établissements financiers ont procédé un durcissement des conditions d'emprunts paralysant plus lourdement encore le secteur déjà affaiblit.
De ce fait, le nombre d'agence ayant fermé leur porte s'élève déjà à plus de 2500.
Dans l'attente d'une relance économique sur le plan internationnal, les agences immobilières en difficulté qui voient chaque jour leurs ressources diminuées un peu plus, espèrent un léger rebond avec l'arrivée des beaux jours. Avec la baisse des prix associée à la baisse des taux d'intérêts, les agences misent sur une hausse d'activité en ce début de printemps.
Plus de souplesse pour les crédits-relais.
Souplesse pour les crédits-relais
Face à la crise immobilière, les particuliers ayant contracté un crédits-relais se sont retrouvés piégés, du fait du blocage du marché.
Dans l'impossiblité de vendre leur bien, certains ménages se sont retrouvés dans des situations dramatiques.
Afin d'apporter rapidement des solutions, le gouvernement n'a pas tardé à réagir.
Alors que les organismes financiers s'étaient engagés à ne pas infliger de pénalités à leurs clients en cas de report d'échéances, le gouvernement compte faire bénéficer, les particuliers ayant souscrit un prêt-relais, d'un allongement d'un à deux ans de l'exonération des plus-values afin de les soutenir face à la crise.
A la base, le crédit-relais est accordé sur une période de deux ans maximum. Il permet à tout propriétaire de financer l'acquisition d'un nouveau bien en attendant la transaction du bien actuellement mis en vente.
Quel remède pour le secteur immobilier
Les taux d'intérêts plus incitatifs ne favorisent pas pour le moment une progression du volume des transactions immobilières.
En effet, le climat économique à tendance à peser lourd dans les esprits et rend réticents les ménages vis à vis de l'endettement.
Avec la poussée du chômage, le secteur immobilier peine à retrouver une certaine dynamique.
L'investissement immobilier, au coeur des mesures gouvernementales, fait face à un attentisme important.
Investir dans l'immobilier apparait pourtant comme une valeur sûre aux yeux des français.
En effet, l'immobilier séduit toujours et la demande reste d'ailleurs considérablement forte.
Néanmoins, dans un climat économique incertain, beaucoup attendent encore un peu, pour avoir des conditions plus favorables, avant de mettre un pied sur le marché résidentiel.
En effet, le climat économique à tendance à peser lourd dans les esprits et rend réticents les ménages vis à vis de l'endettement.
Avec la poussée du chômage, le secteur immobilier peine à retrouver une certaine dynamique.
L'investissement immobilier, au coeur des mesures gouvernementales, fait face à un attentisme important.
Investir dans l'immobilier apparait pourtant comme une valeur sûre aux yeux des français.
En effet, l'immobilier séduit toujours et la demande reste d'ailleurs considérablement forte.
Néanmoins, dans un climat économique incertain, beaucoup attendent encore un peu, pour avoir des conditions plus favorables, avant de mettre un pied sur le marché résidentiel.
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