La crise aura permi de démontrer qu'on ne peut indéfiniement faire de l'argent, avec de l'argent.
Les précédents évènements ont mis au grand jour les limites d'un tel système.
Aujourd'hui il s'agit de pouvoir régler les problèmes de fonds.
Modifier les comportements, mettre des finances aux services de l'économie réelle et éviter l'appat du gain s'avère indispensable.
Malgré la crise, la titrisation, la vente à découvert, se pratique toujours à l'heure actuelle. Racheter l'ensemble de ces produits contaminés apparait difficile pour les Etats.
Cependant, maitriser ses pratiques, les réguler, mieux les encadrer semble indispensable pour empêcher de nouvelles tempêtes financières de grande échelle.
La crise a contribué à freiner sensiblement la croissance de l'Union Européenne et celle des Etats Unis. Les effets se font ressentir depuis plusieurs mois déjà et nul ne sait jusqu'à quelle date cela pourra durer.
Aujourd'hui, le manque de crédits accordés aux entreprises et aux ménages paralyse désormais une bonne partie de notre économie et perturbe considérablement le marché de l'emploi.
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