Certes beacuoup seraient tentés de le penser, compte tenu de la hausse des prix. Mais cette hausse n'a rien de surprenant.
Ce n'est pas une resistance face à la crise car cette hausse et cette attractivité étaient artificielles.
En effet , la baisse des taux d'emprunt a été forte. On a même atteint le plus bas niveau historique depuis 1945 , c'est dire. La crise était là , il fallait donc pousser les ménages à investir pour tenter de compenser les pertes et trouver artificiellement des clients.
Dans le même temps, les mesures incitatives de l'Etat ont été nombreuses et son entrées en scène. PTZ + , aides diverses aux primo accédants , dispositif de défiscalisation ...... . Précisons d'ailleurs que cela s'ajoute bien évidemment au déficit public, la dette de l'Etat que les français, doivent rembourser, et à qui augmentent les impôts et autres taxes.
Bref, ceci a maintenu artificiellement, le marché en vie. En effet, le marché immobilier était bel et bien sous perfusion.
Sans ces nombreuses mesures, qui ont poussé à l'endettement des ménages, comme le PTZ + dont le montant s'incluait à l'apport personnel et permettait de déclencher là encore artificiellement, l'obtention d'un crédit, et sans cette baisse historique des taux d'emprunt immobilier sur 2009 et 2010, les prix de la pierre auraient bien évidemment corrigé. C'est d'ailleurs ce qu'ils avaient commencer à faire avant la mise en place de ces mesures exceptionnelles visant à soutenir le secteur.
La pierre n'a donc pas résisté à la crise comme on peut l'entendre régulièrement. On l'a simplement mise sous perfusion, ce qui a poussé les prix à se déconnecter davantage des salaires et de la réalité. Résultat, prix surrévalués, spéculation, abus, et création d'une bulle immobilière.
Mais, au public, on a laissé entendre que cette résistance était due, au seul pouvoir attractif de la pierre , ce qui est évidemment inexact.
Au cours de cette année 2012 , avec la suppression des aides, auquelle se conjuguent la hausse des taux d'emprunt depuis 2011 , les prix vont inévitablement subir des pression à la baisse, d'autant que le pouvoir d'achat global des ménages ne cesse de régresser.
3.04.2012
Ce n'est pas une resistance face à la crise car cette hausse et cette attractivité étaient artificielles.
En effet , la baisse des taux d'emprunt a été forte. On a même atteint le plus bas niveau historique depuis 1945 , c'est dire. La crise était là , il fallait donc pousser les ménages à investir pour tenter de compenser les pertes et trouver artificiellement des clients.
Dans le même temps, les mesures incitatives de l'Etat ont été nombreuses et son entrées en scène. PTZ + , aides diverses aux primo accédants , dispositif de défiscalisation ...... . Précisons d'ailleurs que cela s'ajoute bien évidemment au déficit public, la dette de l'Etat que les français, doivent rembourser, et à qui augmentent les impôts et autres taxes.
Bref, ceci a maintenu artificiellement, le marché en vie. En effet, le marché immobilier était bel et bien sous perfusion.
Sans ces nombreuses mesures, qui ont poussé à l'endettement des ménages, comme le PTZ + dont le montant s'incluait à l'apport personnel et permettait de déclencher là encore artificiellement, l'obtention d'un crédit, et sans cette baisse historique des taux d'emprunt immobilier sur 2009 et 2010, les prix de la pierre auraient bien évidemment corrigé. C'est d'ailleurs ce qu'ils avaient commencer à faire avant la mise en place de ces mesures exceptionnelles visant à soutenir le secteur.
La pierre n'a donc pas résisté à la crise comme on peut l'entendre régulièrement. On l'a simplement mise sous perfusion, ce qui a poussé les prix à se déconnecter davantage des salaires et de la réalité. Résultat, prix surrévalués, spéculation, abus, et création d'une bulle immobilière.
Mais, au public, on a laissé entendre que cette résistance était due, au seul pouvoir attractif de la pierre , ce qui est évidemment inexact.
Au cours de cette année 2012 , avec la suppression des aides, auquelle se conjuguent la hausse des taux d'emprunt depuis 2011 , les prix vont inévitablement subir des pression à la baisse, d'autant que le pouvoir d'achat global des ménages ne cesse de régresser.
3.04.2012
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