Situtation activité immobilière / Marché immobilier - Avril 2012
Beaucoup veulent croire que l’immobilier est capable de surmonter une crise, à lui seul , Car durant la crise survenue en 2008, les prix n’ont pas baisser et ont même connu une hausse. Mais, cette hausse n'avait rien de surprenant.
Ce n'était pas une résistance de la pierre, face à la crise car cette hausse des prix, et cette attractivité étaient pour le moins, artificielles. En effet , la baisse des taux d'emprunt a été forte. On a même atteint le plus bas niveau historique depuis 1945 , Le Plus bas niveau historique jamais connu, rien que ça.
La crise étant là, et le marché en chute libre , il fallait pousser les ménages à investir pour tenter de compenser les pertes et trouver artificiellement des clients pour alimenter la machine.
C’est ainsi que les mesures incitatives de l'Etat son entrées en scène accompagnant l’exceptionnelle recul des taux. PTZ + , aides diverses aux primo- accédants , dispositif de défiscalisation, ...... . Les aides incitatives se sont multipliés et malheureusement des français s'y sont engouffrés , faisant le jeu du pouvoir et du système. . Précisons d'ailleurs que cela rajoute bien évidemment du déficit public, de la dette que les français, doivent rembourser ensuite . Pour cela impôts et autres taxes sont à la hausse. Bref, ces procédés, ont maintenu artificiellement, le marché en vie.
En effet, le marché immobilier était bel et bien sous perfusion. Sans ces nombreuses mesures exceptionnelles, qui ont poussé une fois de plus à l'endettement des ménages, comme le PTZ + dont le montant s'incluait à l'apport personnel et permettait de déclencher là encore artificiellement, l'obtention d'un crédit immobilier, et sans cette baisse historique des taux d'emprunt immobilier sur 2009 et 2010, les prix de la pierre auraient bien évidemment corrigé.
C'est d'ailleurs ce qu'ils avaient commencer à faire avant la mise en place de ces mesures exceptionnelles visant à soutenir le secteur. Il aurait cependant mieux valu que les prix baissent, au point que les français, puissent acheter ce dont ils ont besoin avec leur propre revenu et non à crédit. En créant un intermédiaire, les prix s’emballent, les français sont forcés de recourir au crédit et les crises surviennent. Mais les prêteur y gagnent, eux.
Des prix immobiliers plus bas, et des salaires plus élevés seraient préférables, mais pas du point de vue il est clair du système financier qui y trouve son compte.
La pierre n'a donc pas résisté à la crise comme on peut l'entendre régulièrement.
On l'a simplement mise sous perfusion, ce qui a poussé les prix à se déconnecter davantage des salaires et de la réalité. Résultat, prix surévalués, spéculation, abus, et création d'une bulle immobilière, et recours au crédit obligatoire pour acquérir un bien.
Mais, au public, on a laissé entendre que cette résistance était due, au seul pouvoir attractif de la pierre , ce qui est évidemment inexact.
Pour preuve, de nombreuses aides ont été supprimées depuis ce début d'année 2012, et comme par hasard, le marché immobilier replonge. Ou enfin non ce n'est pas du hasard. No comment ....
Beaucoup veulent croire que l’immobilier est capable de surmonter une crise, à lui seul , Car durant la crise survenue en 2008, les prix n’ont pas baisser et ont même connu une hausse. Mais, cette hausse n'avait rien de surprenant.
Ce n'était pas une résistance de la pierre, face à la crise car cette hausse des prix, et cette attractivité étaient pour le moins, artificielles. En effet , la baisse des taux d'emprunt a été forte. On a même atteint le plus bas niveau historique depuis 1945 , Le Plus bas niveau historique jamais connu, rien que ça.
La crise étant là, et le marché en chute libre , il fallait pousser les ménages à investir pour tenter de compenser les pertes et trouver artificiellement des clients pour alimenter la machine.
C’est ainsi que les mesures incitatives de l'Etat son entrées en scène accompagnant l’exceptionnelle recul des taux. PTZ + , aides diverses aux primo- accédants , dispositif de défiscalisation, ...... . Les aides incitatives se sont multipliés et malheureusement des français s'y sont engouffrés , faisant le jeu du pouvoir et du système. . Précisons d'ailleurs que cela rajoute bien évidemment du déficit public, de la dette que les français, doivent rembourser ensuite . Pour cela impôts et autres taxes sont à la hausse. Bref, ces procédés, ont maintenu artificiellement, le marché en vie.
En effet, le marché immobilier était bel et bien sous perfusion. Sans ces nombreuses mesures exceptionnelles, qui ont poussé une fois de plus à l'endettement des ménages, comme le PTZ + dont le montant s'incluait à l'apport personnel et permettait de déclencher là encore artificiellement, l'obtention d'un crédit immobilier, et sans cette baisse historique des taux d'emprunt immobilier sur 2009 et 2010, les prix de la pierre auraient bien évidemment corrigé.
C'est d'ailleurs ce qu'ils avaient commencer à faire avant la mise en place de ces mesures exceptionnelles visant à soutenir le secteur. Il aurait cependant mieux valu que les prix baissent, au point que les français, puissent acheter ce dont ils ont besoin avec leur propre revenu et non à crédit. En créant un intermédiaire, les prix s’emballent, les français sont forcés de recourir au crédit et les crises surviennent. Mais les prêteur y gagnent, eux.
Des prix immobiliers plus bas, et des salaires plus élevés seraient préférables, mais pas du point de vue il est clair du système financier qui y trouve son compte.
La pierre n'a donc pas résisté à la crise comme on peut l'entendre régulièrement.
On l'a simplement mise sous perfusion, ce qui a poussé les prix à se déconnecter davantage des salaires et de la réalité. Résultat, prix surévalués, spéculation, abus, et création d'une bulle immobilière, et recours au crédit obligatoire pour acquérir un bien.
Mais, au public, on a laissé entendre que cette résistance était due, au seul pouvoir attractif de la pierre , ce qui est évidemment inexact.
Pour preuve, de nombreuses aides ont été supprimées depuis ce début d'année 2012, et comme par hasard, le marché immobilier replonge. Ou enfin non ce n'est pas du hasard. No comment ....
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