Dans l'ensemble la valorisation des biens immobiliers revient doucement à des valeurs en adéquation avec le budget des acquéreurs hors mis dans la capitale, qui faiit toujours figure d'exception.
Prisés par des canditats à l'accession, la pierre n'a pas disparu malgré la discrétion des acquéreurs ces derniers mois. L'appétit pour cette derniere revient peu à peu à l'ordre du jour avec le retour à des valeurs globalement plus compatibles avec les capacités financières des ménages français.
Côté investisseur, les opérations immobilières exerce singulièrement le même attrait compte tenu des opportunités qui se dressent un peu partout sur le territoire.
Bien entendu, le recul des taux d'emprunts jouent un rôle important dans ce retour des clients.
Mais d'une certaine manière, l'activité du marché reste encore en deça de ses possibilités. C'est pourquoi, les biens les mieux localisés, très prisés par les familles, partent nettement plus facilement. Le marché rural s'est de son côté globalement effondré et la tendance sera difficile à redresser dans un avenir proche. La ville et les centres villes restent une valeur plus sûre même si les prix ont davantages résistés.
L'évolution des taux d'emprunts sera désormais déterminante sur l'évolution prochaine des prix du marché immobilier. En effet, une hausse affaiblirait de nouveau la solvabilité des ménages, déjà bien fragile et pousserait plus encore les prix à la baisse.
Prisés par des canditats à l'accession, la pierre n'a pas disparu malgré la discrétion des acquéreurs ces derniers mois. L'appétit pour cette derniere revient peu à peu à l'ordre du jour avec le retour à des valeurs globalement plus compatibles avec les capacités financières des ménages français.
Côté investisseur, les opérations immobilières exerce singulièrement le même attrait compte tenu des opportunités qui se dressent un peu partout sur le territoire.
Bien entendu, le recul des taux d'emprunts jouent un rôle important dans ce retour des clients.
Mais d'une certaine manière, l'activité du marché reste encore en deça de ses possibilités. C'est pourquoi, les biens les mieux localisés, très prisés par les familles, partent nettement plus facilement. Le marché rural s'est de son côté globalement effondré et la tendance sera difficile à redresser dans un avenir proche. La ville et les centres villes restent une valeur plus sûre même si les prix ont davantages résistés.
L'évolution des taux d'emprunts sera désormais déterminante sur l'évolution prochaine des prix du marché immobilier. En effet, une hausse affaiblirait de nouveau la solvabilité des ménages, déjà bien fragile et pousserait plus encore les prix à la baisse.
2010
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