Ce n'est pas nouveau, le prix de la pierre reste chère. Et ce constat, même les professionnels de l'immobilier le font depuis des mois.
Pourtant, une baisse plus sévère serait la bienvenue pour restaurer de façon sigificative la solvabilité des ménages et retrouver ainsi, un marché plus sain. Entre 1997 et 2007, les prix ont connu une hausse effrenée. Et peu à peu, le porte monnaie des français n'a cessé de se contracter. Avec un volume de potentiels acheteurs déclinant mois après mois, l'astuce fut de rallonger la durée des prêts jusqu'à 20, 25 et 30 ans pour rendre solvable une nouvelle clientèle. Ces mesures ont ainsi largement contribué à la hausse des prix.
Aujourd'hui, avec un taux de chômage particulièrement haut et un climat économique mitigé, renouer avec des prix à la hausse semble être un parfait contresens. Mais, l'impact de la crise financière a obligé les banques à adopter une nouvelle stratégie. Désormais, elles ont besoin de retrouver une clientèle abondante compte tenu des turbulences de ces derniers mois et des pertes occasionnées. Secouées par la crise, elles doivent plus que jamais faire du chiffre et ont mis en place des objectifs commerciaux bien précis. Ce besoin de renouer rapidement avec les profits les a donc rendu plus prêteuses.
Le pricipal taux directeur fixé à 1 % permet en effet aux banques de prêter à taux réduits et d'attirer une nouvelle clientèle. Avec des prix immobiliers élevés, profits, bénéfices, sont largement de retour.
Actuellement, les prix des biens immobiliers sont encore bien trop hauts et même surévalués.
Mais sans doute faut il en priorité remplir les caisses, objectifs commerciaux obligent. Et ceux-ci sont rarement revus à la baisse.
Mais sans doute faut il en priorité remplir les caisses, objectifs commerciaux obligent. Et ceux-ci sont rarement revus à la baisse.
DEs prix même irréalistes. Certains devraient redescendre sur terre.
RépondreSupprimerA ce point, c'est aberrant